La descente aux ENFERS ...

Une prestation lourde de conséquences... Alors que j'avais été sauvé par le public, qui riait encore de mes "cascades"... A peine je quittais la scène, qu'un ami me prévenait que ma prestation avait fait jazzer. Moi qui étais plus ou moins satisfait de ma performance, et qui pensais avoir été drôle, j'accusais le coup et très rapidement l'alcool n'avait plus autant d'effets. Simplement, parce que les échos venaient des Diveens. Alors, j'ai balayé la salle du regard et je n'en trouvais aucune d'entre "elles". Dans un premier temps, j'ai d'abord pensé qu'on se retrouverait "en after", dans l'autre boite gay de Metz. Je n'ai pas perdu une minute et je m'y suis rendu. Toujours personne. J'étais planté là, à me poser mille questions. Et plutôt que d'attendre bêtement, j'ai décroché mon téléphone pour appeler l'un d'entre eux. J'angoissais mais à peine deux sonneries plus tard, il décrochait et me disait qu'ils avaient préféré rentrer parce qu'ils étaient fatigués. Rassuré, je raccrochais en reprochant à mon ami de m'avoir fait peur, pour rien. Nous avons donc continué notre soirée en riant et en se remémorant mes chutes sur scène. Je suis rentré me coucher, exténué, alors que le soleil se levait déjà. Complètement décalé, je me réveillais en plein milieu de l'après-midi. C'est les jambes dans le coton et les yeux mi-clos que j'ouvrais mon pc pour me ruer sur les derniers potins de Facebook. J'étais d'abord surpris quand j'ai vu le nombre de messages que j'avais en attente, mais surtout, j'étais loin de m'imaginer qu'en les ouvrant, ce serait littéralement la descente aux enfers ...


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